( Euleuk Vision / Absilon) En concert le 31 Mai au New morning – Paris –
Jazz magazine CHOC – Mars 2023.
“le guitariste hervé samb dévoile un jazz sabar inspiré par des cultures africaines mais pas que . Une musique raffinée et accessible , solaire et jouissive “ Jazz magazine
« le guitariste virtuose ne se contente pas de faire valoir ses prouesses techniques mais met en avant les singularités de la musique sénégalaise » Marianne
« Avec Jolof, son 6ème album, Hervé Samb met en valeur son exceptionnelle technique instrumentale et ses talents de compositeur, mais aussi une vision personnelle de son art et du message qu’il entend lui confier. » Africa N°1
« L’inventeur du « Jazz-Sabar » fait swinguer sa créativité autour des traditions musicales de son pays. Un disque inspiré et jubilatoire. » RFI Vous m’en direz des nouvelles
« Hervé Samb reprend les codes de cette tradition tout en lui insufflant un vent de liberté nourri de blues et de jazz. » Le Monde Afrique
« 10 magnifiques compositions qui mettent en valeur l’exceptionnelle technique de ce charismatique guitariste et ses talents de compositeurs . Le grand coup de coeur de la redaction . » Paris move
« Belle carrière déjà pour cet artiste aux côtés de Jimmy Cliff, Marcus Miller ou encore David Murray… avec aujourd’hui un 6e album en solo, Jolof, directement inspiré des traditions de sa terre natale avec au cœur de l’univers d’Hervé Samb le Jazz-Sabar, mélange de jazz et de sabar, un des rythmes emblématiques du Sénégal. » TSF Jazz
« Jolof est un album audacieux qui n’élude pas le patrimoine, il en joue ! Moderne, créatif, enraciné, jubilatoire, ce disque reflète la personnalité et l’identité d’un artiste qui ne cesse de croître et de surprendre » RFI – L’épopée des musiques noires
Avec Jolof, son 6ème album, Hervé Samb met en valeur son exceptionnelle technique instrumentale et ses talents de compositeur, mais aussi une vision personnelle de son art et du message qu’il entend lui confier.
Le titre, Jolof, fait référence à l’ancien empire dont découle la constitution territoriale, ethnique et culturelle du Sénégal actuel. Né à Rufisque, non loin de Dakar, il y a une quarantaine d’années, Hervé se tourne ainsi vers ses racines africaines, sans négliger ce qui n’a cessé de nourrir sa musique au fil d’une carrière riche de multiples rencontres et expériences : le blues et le jazz.
De cette bienheureuse collusion est né le jazz sabar, un concept dont il a fait un style à part -entière après une quête, tant formelle qu’identitaire, ébauchée sur ses disques précédents, Time To Feel et Teranga. Album aux multiples miroitements poétiques, aux tensions maîtrisées entre puissance d’expression et phrasé lyrique, Jolof assume pleinement la soumission à une tradition ancestrale tout en s’accordant la liberté de s’en éloigner grâce au « lâcher prise » du jazz.
Mais qu’est-ce au juste que le sabar ? Ce mot wolof désigne à la fois un ensemble de percussions et son tambour roi frappé à main nue ou à l’aide d’une baguette. C’est au sabar que le Sénégal doit son titre de « république des tambours ». Indissociable de l’identité sénégalaise, son rythme a donné naissance au mbalax, aujourd’hui assimilé à la musique moderne du pays grâce à ses chanteurs vedettes, Youssou N’Dour en tête. Omniprésent dans toutes les célébrations et cérémonies, le sabar est devenu synonyme de « fête ». D’où la dimension festive d’un album qui reste marqué néanmoins par la volonté de porter un message positif, de confiance en soi(Gem sa Bop, Doole), de courage (Song Kho), de persévérance (Lamp Faal). Prompt aussi à dénoncer certaines tares sociales, (Barbatoor sur les abus sexuels) ou à célébrer les valeurs éternelles de son pays (Senegaal). Une démarche trahissant les priorités de l’homme parvenu à l’âge de sagesse, mais aussi du musicien arrivé à sa pleine maturité artistique.