Nous commençons le concert avec Tibz, seul avec sa guitare, son piano et son humour. Pas facile d’ouvrir comme ça à l’Olympia pour Jérémy Frérot, mais il fait largement le job avec sa personnalité très attachante et son talent de showman.
Les morceaux sont accrocheurs, pas de soucis pour chauffer la salle toute en intimité, humour et douceur. Un peu court mais très qualitatif.
Pour Jérémy Frérot, la musique est synonyme de partage. En a témoigné, jusqu’en 2017, la folle aventure des Fréro Delavega. Après un premier album solo « Matriochka » aux pulsions mélancoliques, il est temps de lâcher prise.
L’amour, les amis, les emmerdes, ce qu’on lègue aux enfants et ce qu’on apprend sur soi au fil du temps… Voilà ce dont parle son second album « Meilleure vie ».
Jérémy entre en scène sur “A la vie qu’on mène”, un tsunami d’énergie nous envahit, le public y répond sans problème.
Y a pas à dire, il faut voir et écouter Jérémy en live, moi qui suis habitué à voir des concerts extrêmes, j’ai été agréablement surpris par le show.
Nous avons eu droit à un duo avec Tibz, plutôt cool de l’avoir invité.
Ils finissent par “Le pestacle”, le public est conquis.
Excellente soirée à l’Olympia en tre Tibz avec ce côté intimiste et généreux et Jérémy Frérot aux allures de rock star grâce à son énergie communicative.
Minou